• Jeudi 12 Décembre

    La nuit fut assez épique.

    D'abord, Nono a eu chaud, chaud au point d'allumer la clim ! Il était alors 1h30 du matin. Puis il s'est littéralement fait bouffer par les moustiques. Vers 2h15, il s'est donc aspergé d’anti-moustiques et de Marie Rose.

    Et tout ça pendant qu'Alex dormait tranquillement. Mais son répit fut de courte durée... vers 5h, elle sent quelque chose sur sa tête. Non, ce n'est qu'un rêve... sauf que... une blatte est bel et bien là ! Branle-bas de combat ! Alex allume la lumière et tente de la chasser à coup d'anti-moustiques. Ça réveille Nono. On la perd de vue, on se recouche, et c'est au tour de Nono de la sentir sur son oreiller ! C'est reparti pour une 2ème chasse à la blatte. Pas question de la laisser ruiner le reste de notre nuit. On la repère, Nono saisit un balai et parvient à la faire sortir. Elle est bien amochée !

    On a eu beaucoup de mal à se rendormir.

    Puis, vers 8h, quelqu'un n'a rien trouvé de mieux que d’élaguer les arbres de l'hôtel. Un peu de bruit donc !

    Heureusement qu'on a prévu de ne rien faire aujourd'hui ! Repos, sieste, piscine, et … apéro ! Et oui, demain, nous quittons l'Argentine pour le Paraguay !

    RDV sur « Argentine » pour nos impressions sur ce pays.

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  • De retour à l'hôtel, tout est fermé, magasins, boutiques, on fera donc nos courses en soirée, à la fraîche. En attendant, une séance de trempette et de bronzette s'impose ! Hummm, que c'est bon !

    Un vrai petit coin de paradis ! On adore ! On a même décidé de rester une journée de plus pour profiter de ce cadre idyllique ! La fin du voyage approche, on est bon question timing alors on prend le temps !


     

    Puis, vers 18h, on fait un nouvel effort, celui de ressortir acheter notre dîner. Dur... !

    La soirée se passe pour le mieux, on mange dehors, on se fait piquer par les moustiques...

    La belle vie quoi. 

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  • Puis, on continue les efforts. On retourne là où le bus nous avait déposé pour le reprendre et aller jusqu'à Loreto (sur le chemin du retour). Il n'y a pas d'arrêt de bus mais on est convaincu qu'il passe par ici.

    On attend un peu. Quand même, on est peut-être un peu trop confiant.

    On se renseigne. Finalement, le bus ne s'arrête pas ici au retour mais un tout petit peu plus loin ! Vite, on marche jusqu'à l'endroit indiqué.

    Finalement, on aura attendu pas loin d'1h avant de monter dans ce bus qui nous dépose exactement là où on voulait, à Loreto.

    Refondée sur ce lieu en 1632, Loreto fut la plus grande des missions Jésuites, regroupant à son apogée 7 500 habitants sur 75 hectares !

    Le contraste est donc d'autant plus saisissant qu'à ce jour, c'est la mission la plus en ruine de la région ! Les ruines sont vraiment ruinées ! Il n'y a pas grand chose à voir mis à part quelques pierres retenues par des échafaudages roses et une forêt très agréable.

    C'est Ana qui nous raconte tout ça et nous conseille un sens de visite étant donné que la végétation est assez haute et qu'on ne sait pas ce qu'on peut y trouver... (serpents?)


     

    On ne s'attarde pas, il fait toujours aussi chaud et la piscine de l'hôtel nous appelle.

    On revient donc à l'arrêt de bus et on attend. Pas longtemps ! Une voiture s'arrête et nous prend pour rentrer à San Ignacio. Le chauffeur nous apprend qu'à cette heure-là (14h), les bus font une pause. On aurait pu attendre trèèèès longtemps avant d'en voir un passer. Alors on remercie chaleureusement notre chauffeur !

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  • Mercredi 11 Décembre

    Certes, nous sommes dans un hôtel paradisiaque, dans un cadre paradisiaque avec une piscine à la température paradisiaque, mais nous avons quand même fait l'effort d'affronter la chaleur pour aller voir les autres missions de la région !

    A commencer par celle de Santa Ana. Et quand on parle d'effort, le mot n'est pas vain !

    Pour y aller : prendre un bus qui passe devant l'église de San Ignacio toutes les heures (oui mais à quelle heure?), puis descendre avant d'entrer dans le village de Santa Ana pour finir à pieds les 2 kms restants.

    A l'arrivée, c'est Gaston qui nous accueille et nous donne quelques renseignements sur ce qu'était Santa Ana à son apogée.

    Cette mission jésuite, fondée au début du XVIIème siècle, a déménagé sur ce site en 1660. Elle compta au maximum une population de 4 000 guarani pour 35 000 têtes de bétail. La végétation s'est emparée des ruines, créant une atmosphère d'autant plus envoûtante que la légende évoque un trésor caché... Non, on ne l'a pas trouvé !

    Un début de restauration a été entrepris par l'UNESCO. On distingue clairement la grande place centrale et les principaux édifices, à commencer par l'église surélevée et, à côté, l'escalier arrondi qui menait aux résidences des Jésuites (celui où Alex fait sa starlette comme à Cannes!). On remarque bien ici l'emplacement des grands troncs qui servaient à soutenir les nefs. Il y a aussi un curieux cimetière derrière l'église, plus récent mais déjà désaffecté et envahi par la nature. Pour le reste, on a du faire preuve d'imagination. Le site fait l'objet d'une conservation et non d'une restauration, d'où les nombreuses ruines qui jonchent le sol.


     

    On a donc passé un peu de temps au milieu de ces ruines en s'imaginant la vie qui pouvait exister ici. 

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  • Nous quittons le site, toujours sous une chaleur accablante, malgré les nuages. On s'offre une petite glace en route.

    Il est 16h, le « supermarché » n'a toujours pas ouvert mais le marchand de fruits lui est bien là. Et ses prix sont des plus agréables ! Enfin, ce pays devient raisonnable !


     

    Puis, retour à l'hôtel et … PLOUF ! (photo 3) Directement dans la piscine ! L'eau est excellente ! Quel bonheur ! C'est la 2ème fois que nous avons une piscine dans notre hôtel et on l'apprécie !

    On reste là quelques heures, à discuter avec d'autres français. Il fait bon.

    Ce qui est appréciable aussi, c'est de se dire qu'à 17 jours du retour, et au vu de ce qu'il nous reste à faire, on a largement le temps de se prélasser, de prendre le temps... alors on en profite !


     

    C'est seulement vers 19h qu'on retourne en ville terminer nos courses. Ici, les magasins ferment à 22h minimum ! Nous sommes toujours en Argentine !


     

    Photo 1 : Nono vous présente son investissement : une casquette toute neuve !

    Photo 2 : Alex joue les aventurières!

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